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Un peu de tout ce qui me plaît et de mes découvertes pour le plaisir de partager...

Jacques Brel, La Quête

 

 

 

Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part

Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile

Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour

 

  Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux


Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile 

 


 


 

 

 

Personnellement, j'aime beaucoup également l'interprétation qu'en fait Francis Lalanne dans l'un de ses concerts.

 

 


 

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R
<br /> Deux très belles interpretations. De plus les paroles de cette chanson sont porteuses de tant de messages. Merci de votre passage dans mon jardin. Je reviendrai avec plaisir pour découvrir votre<br /> univers. Douce soirée.<br />
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A
<br /> <br /> C'est vrai que les deux interprétations sont magnifiques ! Elles donnent le chair de poule ! Merci pour votre commentaire et pour votre passage. Moi aussi je reviendrai avec plaisir dans votre<br /> univers.<br /> <br /> <br /> Au plaisir !<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> "Mais dis-le toi, Grand Jacques, dis-le toi bien souvent, c'est trop facile, c'est trop facile de faire semblant"<br /> <br /> <br /> Quel plaisir de voir notre cher Don Quichotte de la poésie chantée, notre cher troubadour qui nous donne l'espoir de voir rejaillir le feu de l'ancien volcan, qui nous raconte la Fanette, si<br /> elles s'en souviennent les vagues vous diront combien pour la Fanette il a chanté de chansons, mais voir un ami pleurer... tandis que Fernand est mort,  encore triste, jusqu'à Orly le<br /> dimanche, avec ou sans Bécaud, il chante la vie, ses malheurs, mais plein d'espérances, heureux, qui chante pour l'enfant, heureux les amants retrouvés, chauffe chauffe Marcel, une valse à mille<br /> temps, et puis il y a Frida, quand nous reviennent les fils de  novembre, l'amour, qui sait tous tes sortilèges, qui sait tous mes enchantemants, l'humour où un jour le diable a dit,<br /> bravo bravo, mais... dites moi qu'il y a votre ami Gaston, si vous voulez que je cède la place... j'avais emmené ... des bonbons!<br /> <br /> <br />  Allez Jeff! t'es pas tout seul, soulève ta carcasse!<br /> <br /> <br /> Grand Jacques, tu nous manques, et à bord du Sarmiento, ça fait chaud au coeur de t'entendre encore une fois!<br />
Répondre
A
<br /> <br /> Merci beaucoup pour ce magnifique hommage très émouvant et très poétique. C'est un réel plaisir de le lire, de le re-lire et de le re-re-lire.<br /> <br /> <br /> <br />